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CONFLIT AVEC VOTRE LOCATAIRE : 7 conseils pour éviter le pire

La relation propriétaire/locataire est un lien humain et de confiance qui se tisse lors de l’entrée dans les lieux pour chacune des parties. D’une part, pour le propriétaire qui accepte de confier son bien à un inconnu et de lui concéder des droits dessus, et de l’autre, le locataire, qui espère jouir des lieux en toute tranquillité et sans abus de son propriétaire.

Lorsqu’un incident ou un conflit survient, cette relation est mise à mal et les esprits peuvent vite s’échauffer. D’après nos compétences et expériences, nous avons réunis pour vous ci-dessous sept conseils comportementaux à suivre pour les propriétaires qui se retrouvent en difficulté.

 

  1. Toujours rester zen et ouvert à la communication : Qui n’a jamais vu un conflit se résoudre à coups de poing, ou à raison de menaces et d’insultes ? Personne. De nombreux propriétaires lésés peuvent ressentir la frustration de ne pas pouvoir récupérer un bien qui leur appartient, de la colère lorsqu’ils sont ignorés par leur locataire, de l’incompréhension ou encore de la détresse. Ces émotions sont toutes à fait normales, humaines et justifiées. Néanmoins, nous vous déconseillons vivement de les exprimer directement à votre locataire qui pourra facilement se braquer et décider de ne plus vous répondre. Une attitude courtoise et ferme restera toujours la meilleure solution pour obtenir des informations et faire avancer les choses à l’amiable lorsque cela est possible. Si vous ne pouvez pas gardez votre sang froid, vous pouvez le déléguer à un tiers de confiance.Nous sommes spécialisés pour intervenir dans ces situations de crise. Vous pouvez prendre contact avec nous et nous évoqueront la meilleure solution dans votre cas.
  2. Toujours privilégier des échanges par écrits : On ne le répètera jamais assez mais il est nécessaire de favoriser les échanges avec votre locataire par écrit (courriels, sms, courriers) lorsqu’un incident se produit. Lorsque votre locataire ne réagit pas à vos premiers échanges, vous pourrez lui adresser une mise en demeure officielle lui rappelant la situation et les textes légaux. Celle-ci devra être adressée impérativement par lettre recommandée avec accusé de réception. Il conviendra de veiller à sa bonne réception et à défaut, d’envisager de mandater un commissaire en justice (anc. huissier de justice) pour une remise en main propre. Seuls les écrits restent, ne l’oubliez pas.
  3. Ne tardez pas trop avant d’entamer les démarches : Vous faites confiance à votre locataire pour agir et c’est bien normal. Un incident n’arrive jamais sans raisons et il est important de les identifier et d’essayer de trouver une solution. Le comportement d’un locataire qui ne vous répond pas, vous fuit ou a tendance à repousser les choses, n’est pas très bon signe.C’est pourquoi, pour vous éviter toute attente inutile, nous vous recommandons vivement de fixer dans vos échanges un délai de retour ou d’intervention. Si votre locataire ne revient pas vers vous, n’agit pas, il est inutile d’espérer davantage. Il est aussi vivement recommandé de ne pas attendre de cumuler des mois et des mois de dette de loyers avant de faire le nécessaire, la procédure étant déjà longue par nature.
  4. On reste dans la légalitéL’incident s’est produit et vous souhaitez qu’il soit résolu au plus vite. Vous avez raison. Toutefois, votre locataire bénéficie de certains droits. Nous rappelons qu’il est inutile d’harceler votre locataire par téléphone ou par écrit, de le menacer. Vous ne pouvez pas rentrer dans les lieux sans sa présence et son autorisation ! Il serait dommage que vous soyez à votre tour pénalement et pécuniairement inquiété.
  5. On prend le temps de se renseigner sur les frais de procédure : En cas d’incident ou de conflit, vous serez certainement dans l’obligation d’avancer les frais de procédure. Ceux-ci vous seront peut être un jour remboursés en cas de solvabilité de votre locataire. Pour ne pas prendre de risque et limiter la casse pour votre porte monnaie, sachez que certaines démarches ont un cout fixe tandis que d’autres sont libres. C’est le cas pour les avocats et les commissaires de justice. Il est ainsi intéressant de comparer les couts lorsque ceux-ci varient entre les professionnels d’un même secteur.Il est aussi intéressant d’envisager à chaque stade de la procédure les différentes démarches possibles, certaines seront moins couteuses que d’autres. Selon les cas, il peut être opportun de s’interroger selon les cas à propos de l’intervention d’un intermédiaire à l’amiable, de qualité. Certaines personnes ne réagissent pas de la même manière avec une personne connue (vous ) qu’avec un tiers. Vous feriez l’économie d’une procédure judiciaire et des mois voire des années de tracas.Nous nous distinguons des intermédiaires classiques à ce niveau en vous proposant d’intervenir pour vous à l’amiable. Chez Démel Immo, nous en utilisons des méthodes modernes de communication et de négociation pour maximiser vos chances.
  6. On choisit les bons intermédiairesN’hésitez jamais à prendre rendez vous pour obtenir des informations ou à contacter par téléphone l’intermédiaire que vous souhaiterez mandater. Nous recommandons aussi de choisir des avocats spécialisés dans ces domaines qui auront davantage d’expérience.Nous nous efforçons de nous entourer des meilleurs professionnels en terme de rapport qualité prix pour intervenir au mieux dans vos conflits. Nous pouvons selon votre demande, vous en proposer plusieurs.
  7. Le temps de votre côté pour le recouvrement : Ce conseil s’adresse aux propriétaires dont les locataires sont redevables d’une somme d’argent. La priorité est dans ce cas de recouvrer son dû le plus rapidement possible. Malheureusement, votre locataire n’est pas toujours solvable dans l’immédiat.Nous conseillons vivement dans ce cas de ne pas insister pour éviter des frais de procédure qui ne vous seront jamais remboursés. Lorsque vous êtes détenteur d’une décision de justice, il est parfois plus judicieux de suspendre les poursuites et de demander des enquêtes de solvabilité par la suite.Nous vous invitons à vérifier auprès d’un professionnel la prescription de votre décision de justice. Celle-ci peut être exécutée dans les 10 ans et bien plus si vous faites le nécessaire.

 

CONFLIT AVEC VOTRE LOCATAIRE : 7 conseils pour éviter le pire

La relation propriétaire/locataire est un lien humain et de confiance qui se tisse lors de l’entrée dans les lieux pour chacune des parties. D’une part, pour le propriétaire qui accepte de confier son bien à un inconnu et de lui concéder des droits dessus, et de l’autre, le locataire, qui espère jouir des lieux en toute tranquillité et sans abus de son propriétaire.

Lorsqu’un incident ou un conflit survient, cette relation est mise à mal et les esprits peuvent vite s’échauffer. D’après nos compétences et expériences, nous avons réunis pour vous ci-dessous sept conseils comportementaux à suivre pour les propriétaires qui se retrouvent en difficulté.

 

  1. Toujours rester zen et ouvert à la communication : Qui n’a jamais vu un conflit se résoudre à coups de poing, ou à raison de menaces et d’insultes ? Personne. De nombreux propriétaires lésés peuvent ressentir la frustration de ne pas pouvoir récupérer un bien qui leur appartient, de la colère lorsqu’ils sont ignorés par leur locataire, de l’incompréhension ou encore de la détresse. Ces émotions sont toutes à fait normales, humaines et justifiées. Néanmoins, nous vous déconseillons vivement de les exprimer directement à votre locataire qui pourra facilement se braquer et décider de ne plus vous répondre. Une attitude courtoise et ferme restera toujours la meilleure solution pour obtenir des informations et faire avancer les choses à l’amiable lorsque cela est possible. Si vous ne pouvez pas gardez votre sang froid, vous pouvez le déléguer à un tiers de confiance.Nous sommes spécialisés pour intervenir dans ces situations de crise. Vous pouvez prendre contact avec nous et nous évoqueront la meilleure solution dans votre cas.
  2. Toujours privilégier des échanges par écrits : On ne le répètera jamais assez mais il est nécessaire de favoriser les échanges avec votre locataire par écrit (courriels, sms, courriers) lorsqu’un incident se produit. Lorsque votre locataire ne réagit pas à vos premiers échanges, vous pourrez lui adresser une mise en demeure officielle lui rappelant la situation et les textes légaux. Celle-ci devra être adressée impérativement par lettre recommandée avec accusé de réception. Il conviendra de veiller à sa bonne réception et à défaut, d’envisager de mandater un commissaire en justice (anc. huissier de justice) pour une remise en main propre. Seuls les écrits restent, ne l’oubliez pas.
  3. Ne tardez pas trop avant d’entamer les démarches : Vous faites confiance à votre locataire pour agir et c’est bien normal. Un incident n’arrive jamais sans raisons et il est important de les identifier et d’essayer de trouver une solution. Le comportement d’un locataire qui ne vous répond pas, vous fuit ou a tendance à repousser les choses, n’est pas très bon signe.C’est pourquoi, pour vous éviter toute attente inutile, nous vous recommandons vivement de fixer dans vos échanges un délai de retour ou d’intervention. Si votre locataire ne revient pas vers vous, n’agit pas, il est inutile d’espérer davantage. Il est aussi vivement recommandé de ne pas attendre de cumuler des mois et des mois de dette de loyers avant de faire le nécessaire, la procédure étant déjà longue par nature.
  4. On reste dans la légalitéL’incident s’est produit et vous souhaitez qu’il soit résolu au plus vite. Vous avez raison. Toutefois, votre locataire bénéficie de certains droits. Nous rappelons qu’il est inutile d’harceler votre locataire par téléphone ou par écrit, de le menacer. Vous ne pouvez pas rentrer dans les lieux sans sa présence et son autorisation ! Il serait dommage que vous soyez à votre tour pénalement et pécuniairement inquiété.
  5. On prend le temps de se renseigner sur les frais de procédure : En cas d’incident ou de conflit, vous serez certainement dans l’obligation d’avancer les frais de procédure. Ceux-ci vous seront peut être un jour remboursés en cas de solvabilité de votre locataire. Pour ne pas prendre de risque et limiter la casse pour votre porte monnaie, sachez que certaines démarches ont un cout fixe tandis que d’autres sont libres. C’est le cas pour les avocats et les commissaires de justice. Il est ainsi intéressant de comparer les couts lorsque ceux-ci varient entre les professionnels d’un même secteur.Il est aussi intéressant d’envisager à chaque stade de la procédure les différentes démarches possibles, certaines seront moins couteuses que d’autres. Selon les cas, il peut être opportun de s’interroger selon les cas à propos de l’intervention d’un intermédiaire à l’amiable, de qualité. Certaines personnes ne réagissent pas de la même manière avec une personne connue (vous ) qu’avec un tiers. Vous feriez l’économie d’une procédure judiciaire et des mois voire des années de tracas.Nous nous distinguons des intermédiaires classiques à ce niveau en vous proposant d’intervenir pour vous à l’amiable. Chez Démel Immo, nous en utilisons des méthodes modernes de communication et de négociation pour maximiser vos chances.
  6. On choisit les bons intermédiairesN’hésitez jamais à prendre rendez vous pour obtenir des informations ou à contacter par téléphone l’intermédiaire que vous souhaiterez mandater. Nous recommandons aussi de choisir des avocats spécialisés dans ces domaines qui auront davantage d’expérience.Nous nous efforçons de nous entourer des meilleurs professionnels en terme de rapport qualité prix pour intervenir au mieux dans vos conflits. Nous pouvons selon votre demande, vous en proposer plusieurs.
  7. Le temps de votre côté pour le recouvrement : Ce conseil s’adresse aux propriétaires dont les locataires sont redevables d’une somme d’argent. La priorité est dans ce cas de recouvrer son dû le plus rapidement possible. Malheureusement, votre locataire n’est pas toujours solvable dans l’immédiat.Nous conseillons vivement dans ce cas de ne pas insister pour éviter des frais de procédure qui ne vous seront jamais remboursés. Lorsque vous êtes détenteur d’une décision de justice, il est parfois plus judicieux de suspendre les poursuites et de demander des enquêtes de solvabilité par la suite.Nous vous invitons à vérifier auprès d’un professionnel la prescription de votre décision de justice. Celle-ci peut être exécutée dans les 10 ans et bien plus si vous faites le nécessaire.

 

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